• Conseillé par
    18 novembre 2022

    Juste deux secondes et la vie bascule, comme le rappelle Diaty Diallo dans son premier roman écrit comme un cri de protestation, avec à l’arrière plan le son d’un rap strident, pour dénoncer les violences policières où la jeunesse finit par inonder l’air qu’ils ont brûlé.
    La suite ici
    https://vagabondageautourdesoi.com/2022/11/17/diaty-diallo/


  • Conseillé par
    7 novembre 2022

    Abandon de lecture

    D’entrée de jeu, j’ai eu du mal avec le style qui utilise le verlan et le parler de la cité. Si à l’oral, je n’ai pas trop de mal avec, à l’écrit, je dois avouer que je trouve cela beaucoup moins fluide.

    Le sujet était intéressant, pourtant; les personnages bien présentés et haut en couleur, mais je me suis rapidement perdue dans le dédale des immeubles, et que vient faire cette pyramide au milieu ?!

    Le personnage d’Astor, le narrateur, promettait d’être passionnant, son regard sur les événements et ses ami.e.s.

    Mais j’ai fini par lâcher ce roman, perdue.


  • Conseillé par (Libraire)
    6 septembre 2022

    Ma cité va craquer

    Ce roman, c'est le feu 🔥
    Un feu qui se propage, réchauffe et éblouit.
    L'histoire, c'est celle de beaucoup de cités de banlieue : les potes, les squats, les barbecues improvisés, les ballets de scooters et les interpellations incessantes d'une police un peu trop zélée. Astor, Chérif et les autres ont l'habitude. Ils se plient au rituel avec une sorte d'amusement fatigué. Jusqu'au drame.
    Ce que fait Diaty Diallo, c'est de la magie. Sa langue est lyrique, incandescente, elle sublime le sordide. L'autrice nous invite à bras ouverts dans son univers, et pour peu qu'on maîtrise un chouilla le vocabulaire de banlieue, le voyage s'avère euphorisant.
    Il y a vraiment trop de beauté dans ce roman. C'est bouleversant. Ça enfle comme une vague, à l' intérieur. J'ai vibré, j'ai été remuée. C'est tout ce que j'aime dans la littérature.


  • Conseillé par (Libraire)
    5 septembre 2022

    Conseillé par Manon R et Anaëlle

    Ils s’appellent Astor, Chérif, Issa ou encore Bak. Ils ont grandi ensemble dans un quartier entre Paris et sa banlieue, ils se connaissent depuis toujours. Un soir, ils partagent un barbecue, une habitude des jours d’été. Mais ce soir, rien ne va se passer comme prévu. Une énième interpellation par la police, la violence monte, une course poursuite et le pire vient d’arriver… un des jeunes se fait abattre.

    "Deux secondes d’air qui brûle" est un roman percutant qui met en lumière le harcèlement policier. Les personnages sont attachants et révoltés, décrits avec une écriture qui prend aux tripes. Diaty Diallo ose une langue pleine d’audace et de poésie, c’est fort, c’est beau, quel texte !


  • Conseillé par (Libraire)
    3 septembre 2022

    On suit l'histoire d'une bande de potes en banlieue qui se connaissent depuis l'enfance. Ils trainent, fument des joints, se marrent, font des barbecues et se font régulièrement contrôler par "les hommes en bleu". Jusqu'à l'interpellation de trop...
    Un premier roman brillant, plein de poésie et de sonorités musicales. Un texte aussi mordant qu'émouvant !

    Delphine


  • Conseillé par (Libraire)
    31 août 2022

    Coup de Coeur d'Amélie

    Dans une banlieue française, plein été, les jeunes passent le temps entre balade en deux roues et BBQ mais un contrôle policier dérape. Et la machine s'emballe ...
    Très très loin de tous clichés, Diaty Diallo écrit un roman sauvage, musical, enjoué et tient en haleine le lecteur avec un scénario terriblement bien ficelé.

    Un grand bravo !!

    Librairie La Promesse de l'Aube


  • Conseillé par (Libraire)
    20 août 2022

    Puissant

    Loin des portraits défaitistes ou fantasmés de la banlieue, Diaty Diallo montre la vie entre deux blocs de bitume, l'injustice, la colère, la violence et la solidarité.
    A l'urgence qui brûle et l'argot qui vit, la métrique et la rhétorique donnent une dimension puissante à ce roman qui restera l'une de mes plus belles lectures de l'année.


  • Conseillé par
    16 août 2022

    Un diamant noir qui vise les tripes et vise juste.

    Un barbecue bricolé en bas d’un immeuble d’une cité francilienne. Tranquille. Un énième contrôle de police. Blasés. Les esprits s’échauffent, la scène tourne à l’affrontement. Le délire. Les renforts poursuivent deux jeunes au guidon d’une moto-cross, puis ouvrent le feu. Arrachement définitif à la vie d’avant. Dans un phrasé sans cadre, au plus près de l’oralité, avec un sens de l’urgence magistral, Diaty Diallo dit le débordement de souffrances et le soulèvement collectif qui se prépare, pied-de-nez bouleversant de dignité à la relégation urbaine et sociale. Un diamant noir qui vise les tripes et vise juste.


  • Conseillé par
    15 août 2022

    La fureur de vivre

    Un barbecue bricolé en bas d’un immeuble d’une cité francilienne. Tranquille. Un énième contrôle de police. Blasés. Les esprits s’échauffent, la scène tourne à l’affrontement. Le délire. Les renforts poursuivent deux jeunes au guidon d’une moto-cross, puis ouvrent le feu. Arrachement définitif à la vie d’avant.

    Dans un phrasé sans cadre, au plus près de l’oralité, avec un sens de l’urgence magistral, Diaty Diallo dit le débordement de souffrances et le soulèvement collectif qui se prépare, pied-de-nez bouleversant de dignité à la relégation urbaine et sociale. Un diamant noir qui vise les tripes et vise juste.


  • Conseillé par
    12 août 2022

    La fureur de vivre

    Un barbecue bricolé en bas d'un immeuble d'une cité francilienne. Tranquille. Un énième contrôle de police. Blasés. Les esprits s'échauffent, la scène tourne à l'affrontement. Le délire. Les renforts poursuivent deux jeunes au guidon d'une moto-cross, puis ouvrent le feu. Arrachement définitif à la vie d'avant. Dans un phrasé sans cadre, au plus près de l'oralité, avec un sens de l'urgence magistral, Diaty Diallo dit le débordement de souffrances et le soulèvement collectif qui se prépare, pied-de-nez bouleversant de dignité à la relégation urbaine et sociale. Un diamant noir qui vise les tripes et vise juste.