Petite causerie sur la nonchalance et les vertus de l'étape

Transboréal

8,00

Patrick Manoukian, éditeur, réfléchit sur la valeur du temps en voyage. Quand le parcours importe davantage que le but, que la rencontre est préférée à la visite et la nonchalance substituée à la hâte, le hasard des étapes, dans un café ou au creux d’un hamac, fait tout le sel du voyage.


Les plus beaux parcours d'europe

Lonely Planet

24,90

Les plus beaux itinéraires à vélo sur les routes et les chemins d'Europe Les récits, par des voyageurs aux profils variés, de cinquante itinéraires à travers toute l'Europe : de la Norvège au sud de l'Espagne, et de la France à la Roumanie. Ces récits sont complétés par 150 suggestions de parcours supplémentaires. Des itinéraires pour tous les niveaux, de la promenade en famille aux tracés des courses de légende (Paris-Roubaix, Strade Bianche), de la sortie de quelques heures aux voyages de plusieurs jours, voire plusieurs semaines pour les périples au (très) long cours (de la Belgique à la Turquie par exemple). Des parcours sur vélo de route ou à VTT, en gravel voire avec un vélo pliant ! A travers des campagnes paisibles ou des villes propices à la découverte à deux-roues (Berlin, Copenhague...), le long d'un canal ou à l'assaut de sommets alpestres. Les infos essentielles pour vous organiser, les points de départ et d'arrivée, les meilleures saisons, des lieux où se restaurer, se loger, louer un vélo, des liens utiles, les choses indispensables à glisser dans vos sacoches. Un ouvrage richement illustré, avec de nombreuses photos et une carte par itinéraire. Un index par destinations, par thèmes, par types de voyage Le compagnon idéal des voyages zéro carbone et au grand air, en couple, en famille, entre amis ou en solo.


21,00

Peut-on vraiment voyager sans avion ? Comment s’y prendre ?


À l’heure de sortir enfin de ce lourd confinement, transformez vos vacances en aventures en vous déplaçant autrement.


La Route 66 aux États-Unis est devenue une légende, les routes de la soie racontent des histoires de commerce, les explorations maritimes ont ouvert des voies inconnues. Et puis il y a ces itinéraires insolites, ces routes de glace, corniches vertigineuses, paysages époustouflants ou chemins historiques... À travers jungles, déserts et montagnes ou au fil des siècles, embarquez pour un tour du monde en 80 routes, un voyage passionnant et inspirant illustré par des photographies et des cartes exceptionnelles.


17,50

« Qu’allais-tu faire là-bas ? Tes amis te le demandaient souvent : pourquoi encore cette ville ? Pourquoi tout ce temps ? Qu’y a-t-il à New York que tu ne connais pas déjà ? Parfois tu te le demandais aussi. Tu l’avais arpentée en long, en large et en travers, si bien que tu la connaissais mieux que ta ville natale. “Pour écrire” était la réponse qui coupait court à toute question. Mais il y avait quelque chose d’autre de trop difficile à expliquer. »

En 2003, Paolo Cognetti, âgé de 25 ans, se rend à New York pour réaliser une série de films documentaires sur la littérature américaine. Le jeune écrivain tombe sous le charme de la ville qui ne dort jamais et, pendant dix ans, il n’aura de cesse d’y retourner. Ces Carnets de New York sont le récit de ses multiples allers-retours dans la ville « des chasseurs de fortune, des souffleurs de bulles de savon et des rêves brisés ».

Dans cette langue qui n’appartient qu’à lui – divin mélange de simplicité et de poésie –, il nous entraîne sur les pas de ses héros littéraires, Melville, Whitman, Ginsberg, Capote ou encore Paley, Salinger et Kerouac. Il déambule dans Brooklyn, « la ville des écrivains », erre entre les gratte-ciel de Manhattan, traîne sa solitude le long de l’Hudson ou de l’East River, fait une pause chez Ozzie’s pour noircir les pages de son carnet. Comme toujours avec Paolo Cognetti, il n’est de voyage sans rencontres et nouvelles amitiés : à chaque retour à New York, le voilà qui retrouve ses amis italo-américains, Bob, son « oncle de Brooklyn » qui doit ses rudiments d’italien à lecture de Moravia et Jimmy, qui nourrit une passion pour Mussolini et n’a jamais mis les pieds en Italie.

Illustré de neuf cartes dessinées par l’auteur, ces carnets sont une ode à New York, « ses ponts, ses îles, ses automnes, ses habitants mi-réels, mi-fantastiques ».