- EAN13
- 9782073021847
- Éditeur
- Gallimard
- Date de publication
- 22/08/2024
- Collection
- Blanche
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Autre version disponible
-
Papier - Gallimard 19,50
"Je pardonne à tous et à tous je demande pardon. Ça va ? Pas trop de
bavardages." Le 27 août 1950, Cesare Pavese se donne la mort dans la chambre
49 de l’Hotel Roma, à Turin. Il laisse un mot d’excuse, des poèmes et un
journal intime, Le Métier de vivre. Pierre Adrian a retracé le dernier été
d’un écrivain hanté par le suicide. Il a cherché dans sa vie et dans ses
livres de quoi nous apprendre, malgré tout, le douloureux métier de vivre.
Pavese apparaît au fil des pages comme un compagnon de route taciturne, drôle,
sincère. Au cours de ces errances en ville et dans les collines, on croise
Monica Vitti et Antonioni, Calvino, des actrices américaines… Mais aussi "la
fille à la peau mate", qui déambule aux côtés du narrateur sur les traces
d’une ombre, dans ce Piémont devenu le lieu éblouissant des retrouvailles avec
l’être aimé. Avec ce nouveau récit au charme furieux, Pierre Adrian nous donne
à contempler une Italie d’après-guerre en noir et blanc, où la littérature et
la politique sont une question de vie ou de mort, où rien n’est jamais grave
mais où le tragique finit par s’inviter.
bavardages." Le 27 août 1950, Cesare Pavese se donne la mort dans la chambre
49 de l’Hotel Roma, à Turin. Il laisse un mot d’excuse, des poèmes et un
journal intime, Le Métier de vivre. Pierre Adrian a retracé le dernier été
d’un écrivain hanté par le suicide. Il a cherché dans sa vie et dans ses
livres de quoi nous apprendre, malgré tout, le douloureux métier de vivre.
Pavese apparaît au fil des pages comme un compagnon de route taciturne, drôle,
sincère. Au cours de ces errances en ville et dans les collines, on croise
Monica Vitti et Antonioni, Calvino, des actrices américaines… Mais aussi "la
fille à la peau mate", qui déambule aux côtés du narrateur sur les traces
d’une ombre, dans ce Piémont devenu le lieu éblouissant des retrouvailles avec
l’être aimé. Avec ce nouveau récit au charme furieux, Pierre Adrian nous donne
à contempler une Italie d’après-guerre en noir et blanc, où la littérature et
la politique sont une question de vie ou de mort, où rien n’est jamais grave
mais où le tragique finit par s’inviter.
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