- EAN13
- 9782246814610
- Éditeur
- Grasset
- Date de publication
- 06/09/2017
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Sur les traces de Paul Gauguin
Remise en vente à l'occasion de l'exposition
Jean-Luc Coatalem
Grasset
Autre version disponible
-
Papier - Grasset 20,90
Après une enfance en Polynésie et dans l'océan indien, Jean-Luc Coatalem, 41
ans, écrivain-voyageur, journaliste à Géo, continue de parcourir le monde. Il
a publié chez Grasset Villa Zaouche (1994), Tout est factice (1995), Mission
au Paraguay (1996), Le Fils du fakir (1998). Le Livre : C'est le cliché sépia
d'une anglo-polynésienne, achetée aux enchères par l'auteur, qui le pousse à
partir, soudain, sur les traces de Paul Gauguin. Qui était cette jolie vahiné
? Et surtout, pour quelle raison l'artiste peignit-il le visage cireux de son
fils, Aristide, dit Atiti, le jour de sa mort à Papeete ? Quel écho intime ce
tableau éveille-t-il chez Jean-Luc Coatalem, qui comme Gauguin connut la
Bretagne comme les archipels de la Polynésie. Commence alors une traque,
méticuleuse, réaliste mais fulgurante, où l'on comprendra que Gauguin, petit-
fils de Flora Tristan, « Inca » halluciné, « Péruvien à la bourse plate »,
fuit la réalité pour se trouver lui-même, renverse tous les clichés sur
l'exotisme, à en perdre la raison, jusqu'au fonds du puits du Jouir, où
l'auteur retrouve intacte sa seringue de morphinomane. Quelle traque ! Quelle
enquête, mystique et géographique ! Bretagne, Hollande, Danemark, Panama,
Martinique, Tahiti, et les lointaines mers du Sud, avec pour compagnons, les
peintres, les créanciers, les marchands du culte, des vahinés, l'océan, la
solitude. Un Gauguin affairiste courant après la vente ? Un Gauguin père de
famille, abandonnant ses cinq enfants à Copenhague ? Un Gauguin réconcilié
avec lui-même, peintre apaisé, dont la main fût guidée par les dieux Maori ?
Quel est le vrai Gauguin ? Et si son appétit pour l'ailleurs, pour « le grand
Divers » cachait une autre faim ? Comme l'écrivit Gauguin : « On rêve et on
peint tranquillement. »
ans, écrivain-voyageur, journaliste à Géo, continue de parcourir le monde. Il
a publié chez Grasset Villa Zaouche (1994), Tout est factice (1995), Mission
au Paraguay (1996), Le Fils du fakir (1998). Le Livre : C'est le cliché sépia
d'une anglo-polynésienne, achetée aux enchères par l'auteur, qui le pousse à
partir, soudain, sur les traces de Paul Gauguin. Qui était cette jolie vahiné
? Et surtout, pour quelle raison l'artiste peignit-il le visage cireux de son
fils, Aristide, dit Atiti, le jour de sa mort à Papeete ? Quel écho intime ce
tableau éveille-t-il chez Jean-Luc Coatalem, qui comme Gauguin connut la
Bretagne comme les archipels de la Polynésie. Commence alors une traque,
méticuleuse, réaliste mais fulgurante, où l'on comprendra que Gauguin, petit-
fils de Flora Tristan, « Inca » halluciné, « Péruvien à la bourse plate »,
fuit la réalité pour se trouver lui-même, renverse tous les clichés sur
l'exotisme, à en perdre la raison, jusqu'au fonds du puits du Jouir, où
l'auteur retrouve intacte sa seringue de morphinomane. Quelle traque ! Quelle
enquête, mystique et géographique ! Bretagne, Hollande, Danemark, Panama,
Martinique, Tahiti, et les lointaines mers du Sud, avec pour compagnons, les
peintres, les créanciers, les marchands du culte, des vahinés, l'océan, la
solitude. Un Gauguin affairiste courant après la vente ? Un Gauguin père de
famille, abandonnant ses cinq enfants à Copenhague ? Un Gauguin réconcilié
avec lui-même, peintre apaisé, dont la main fût guidée par les dieux Maori ?
Quel est le vrai Gauguin ? Et si son appétit pour l'ailleurs, pour « le grand
Divers » cachait une autre faim ? Comme l'écrivit Gauguin : « On rêve et on
peint tranquillement. »
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