- EAN13
- 9782330194314
- Éditeur
- Actes Sud
- Date de publication
- 21/08/2024
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
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Papier - Actes Sud 19,50
L’écrivain néerlandais Thomas Helder vient de mourir dans la fleur de l’âge.
La cérémonie achevée, ses proches se rassemblent dans la maison de famille de
sa mère, une demeure en pleine campagne aveyronnaise, embellie par la venue du
soir, la clarté si particulière de la neige.
Au centre de cette assemblée, une très chère amie de Thomas, Margaux,
architecte française renommée, partie au loin depuis des années, jusqu’à ce
soir de deuil restée totalement absente. Mais pour elle, Thomas a laissé une
lettre.
Margaux s’entretient avec tous et en particulier avec Jorg, le frère aîné du
défunt. Entre eux se tisse une conversation énigmatique et singulière qui la
confronte aux fantômes de son passé.
Un huis clos au cœur de la beauté des paysages, dans cette maison pleine des
lointains souvenirs, entre l’Aubrac et Amsterdam : ils y ont grandi, s’y sont
aimés, quelquefois menti. Une ronde de personnages menée avec virtuosité dans
une unité de temps au cours de laquelle ces quelques inséparables se révèlent
avec sincérité et chaleur, où s’inscrit en transparence ce que les lieux font
aux hommes : “Nous étions des enfants des canaux, de l’écho de l’eau et de la
patine du temps, ce qui comptait c’était la lumière.”
La cérémonie achevée, ses proches se rassemblent dans la maison de famille de
sa mère, une demeure en pleine campagne aveyronnaise, embellie par la venue du
soir, la clarté si particulière de la neige.
Au centre de cette assemblée, une très chère amie de Thomas, Margaux,
architecte française renommée, partie au loin depuis des années, jusqu’à ce
soir de deuil restée totalement absente. Mais pour elle, Thomas a laissé une
lettre.
Margaux s’entretient avec tous et en particulier avec Jorg, le frère aîné du
défunt. Entre eux se tisse une conversation énigmatique et singulière qui la
confronte aux fantômes de son passé.
Un huis clos au cœur de la beauté des paysages, dans cette maison pleine des
lointains souvenirs, entre l’Aubrac et Amsterdam : ils y ont grandi, s’y sont
aimés, quelquefois menti. Une ronde de personnages menée avec virtuosité dans
une unité de temps au cours de laquelle ces quelques inséparables se révèlent
avec sincérité et chaleur, où s’inscrit en transparence ce que les lieux font
aux hommes : “Nous étions des enfants des canaux, de l’écho de l’eau et de la
patine du temps, ce qui comptait c’était la lumière.”
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