- EAN13
- 9782754843652
- Éditeur
- Futuropolis
- Date de publication
- 25/09/2024
- Collection
- Albums Futuropolis
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Papier - Futuropolis 22,00
Que connaît-on de la vie d’Arthur Rimbaud ? Des fragments sont attestés et
vérifiés, mais une bonne partie ne peut que se réduire à des hypothèses.
Comment raconter la vie d’un homme célèbre qu’on connaît autant et si peu ? En
ne racontant pas ' la ' vie du poète mais ' une ' vie d’Arthur. En remplissant
les vides avec une rigoureuse imagination. Dans ce deuxième tome, Arthur
Rimbaud n’a pas encore 16 ans. Il écrit ses premiers poèmes, en 1870. En août,
il fugue, pour la première fois par l’escalier de service, à l’aube, la
sacoche militaire de son père en bandoulière. Il veut prendre le train pour
Paris, mais la ligne est coupée par les bombardements prussiens. La guerre, la
guerre, la guerre : ' C’est effrayant, les épiciers retraités qui revêtent
l’uniforme ! ... ma patrie se lève !... moi, j’aime mieux la voir assise ; ne
remuez pas les bottes ! c’est mon principe ', écrit-il à son professeur
Georges Izambard. Alors, Arthur marche vers Charleroi, en Belgique, où il
compte, de là, rejoindre Paris. Il y parviendra en septembre, mais pris sans
billet il sera emmené directement à la prison de Mazas... Paris devra attendre
un peu... Ce sera au moment de la Commune.
vérifiés, mais une bonne partie ne peut que se réduire à des hypothèses.
Comment raconter la vie d’un homme célèbre qu’on connaît autant et si peu ? En
ne racontant pas ' la ' vie du poète mais ' une ' vie d’Arthur. En remplissant
les vides avec une rigoureuse imagination. Dans ce deuxième tome, Arthur
Rimbaud n’a pas encore 16 ans. Il écrit ses premiers poèmes, en 1870. En août,
il fugue, pour la première fois par l’escalier de service, à l’aube, la
sacoche militaire de son père en bandoulière. Il veut prendre le train pour
Paris, mais la ligne est coupée par les bombardements prussiens. La guerre, la
guerre, la guerre : ' C’est effrayant, les épiciers retraités qui revêtent
l’uniforme ! ... ma patrie se lève !... moi, j’aime mieux la voir assise ; ne
remuez pas les bottes ! c’est mon principe ', écrit-il à son professeur
Georges Izambard. Alors, Arthur marche vers Charleroi, en Belgique, où il
compte, de là, rejoindre Paris. Il y parviendra en septembre, mais pris sans
billet il sera emmené directement à la prison de Mazas... Paris devra attendre
un peu... Ce sera au moment de la Commune.
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