- EAN13
- 9782940556724
- ISBN
- 978-2-940556-72-4
- Éditeur
- Balland
- Date de publication
- 26/10/2017
- Collection
- DOCUMENTS
- Nombre de pages
- 280
- Dimensions
- 22,5 x 14,2 x 2,1 cm
- Poids
- 388 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Cette relecture de l'expérience professionnelle d'un médecin gériatre devenu directeur établissement, à la lumière de la philosophie de la personne, aboutit à une revisitation de la pratique.
De mes deux premiers livres, Devenir médecin est une phénoménologie de la relation médicale, Médecin patient est une théorisation éthique sur la relation médicale. Mon livre actuel est une philosophie pratique, d'une part, du service à la personne âgée et, d'autre part, comme préalable à la première, une attitude de management de l'équipe des personnes produisant le service.
Les personnes de grand âge qui requièrent des soins sont généralement affaiblies et fragiles. Lorsque la dépendance s'installe, il faut recourir à des tierces personnes qui, le moment venu, sont des professionnels. Sur quelles bases non pas seulement techniques, mais morales, doit-on asseoir la pratique de ces soins délivrés par des professionnels ?
L'être humain comme personne est ce qui décrit le mieux tout ce qu'on attend d'un "service à la personne" : par-delà leurs connaissances techniques nécessaires, les soignants sont convoqués à saisir ce qui constitue la dignité de la personne, à travers ses forces et surtout ses faiblesses. La vieillesse, la dépendance et l'autonomie doivent être visitées de nouveau dans leurs implications éthiques en les rattachant à la vie quotidienne, tant celle des personnes âgées que celle des soignants eux-mêmes.
De mes deux premiers livres, Devenir médecin est une phénoménologie de la relation médicale, Médecin patient est une théorisation éthique sur la relation médicale. Mon livre actuel est une philosophie pratique, d'une part, du service à la personne âgée et, d'autre part, comme préalable à la première, une attitude de management de l'équipe des personnes produisant le service.
Les personnes de grand âge qui requièrent des soins sont généralement affaiblies et fragiles. Lorsque la dépendance s'installe, il faut recourir à des tierces personnes qui, le moment venu, sont des professionnels. Sur quelles bases non pas seulement techniques, mais morales, doit-on asseoir la pratique de ces soins délivrés par des professionnels ?
L'être humain comme personne est ce qui décrit le mieux tout ce qu'on attend d'un "service à la personne" : par-delà leurs connaissances techniques nécessaires, les soignants sont convoqués à saisir ce qui constitue la dignité de la personne, à travers ses forces et surtout ses faiblesses. La vieillesse, la dépendance et l'autonomie doivent être visitées de nouveau dans leurs implications éthiques en les rattachant à la vie quotidienne, tant celle des personnes âgées que celle des soignants eux-mêmes.
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