- EAN13
- 9782130590682
- ISBN
- 978-2-13-059068-2
- Éditeur
- Presses universitaires de France
- Date de publication
- 29/09/2011
- Collection
- Petite bibliothèque de psychanalyse
- Nombre de pages
- 200
- Dimensions
- 19 x 12,5 x 1 cm
- Poids
- 182 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 150.1952 - 801.92
- Fiches UNIMARC
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Les revenants de la mémoire. Freud et Shakespeare
Freud et Shakespeare
De Henriette Michaud
Presses universitaires de France
Petite bibliothèque de psychanalyse
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Le livre marque la place et la fonction du dramaturge — la force de ses mots, l’énigme de son nom — dans l’œuvre de psychanalyse. Elle en suit le destin de sa genèse à son accomplissement dans le Moïse. Shakespeare y apparaît à la fois comme précurseur et comme outil pour penser la question du « vrai » auteur.
Au fil des chapitres se dessine la silhouette singulière du Shakespeare de Freud . Chaque chapitre explore un aspect du rapport qui s’établit entre les deux œuvres. Les citations de Shakespeare et son nom reviennent comme des revenants, au cœur de la langue de Freud, éclairant les formations de l’inconscient (mots d’esprit, lapsus, rêves), la folie, le meurtre des pères, le retour du ghost.
Et si Shakespeare n’était pas Shakespeare ? Deux chapitres enquêtent sur l’hypothèse freudienne d’un « grand inconnu » qui se cacherait derrière le nom de Shakespeare, et rapprochent ce nom de celui de Moïse, l’autre « étranger ».
Henriette Michaud est psychanalyste, membre du Cercle Freudien. Docteur de Recherches en psychanalyse (Université Paris Diderot) et agrégée d’anglais, elle a contribué à un livre collectif sur les Correspondances de Freud (PSN, 2007) et publié une étude sur Yves Bonnefoy traducteur de Shakespeare (Cahiers de l’Herne Yves Bonnefoy, 2010).
Au fil des chapitres se dessine la silhouette singulière du Shakespeare de Freud . Chaque chapitre explore un aspect du rapport qui s’établit entre les deux œuvres. Les citations de Shakespeare et son nom reviennent comme des revenants, au cœur de la langue de Freud, éclairant les formations de l’inconscient (mots d’esprit, lapsus, rêves), la folie, le meurtre des pères, le retour du ghost.
Et si Shakespeare n’était pas Shakespeare ? Deux chapitres enquêtent sur l’hypothèse freudienne d’un « grand inconnu » qui se cacherait derrière le nom de Shakespeare, et rapprochent ce nom de celui de Moïse, l’autre « étranger ».
Henriette Michaud est psychanalyste, membre du Cercle Freudien. Docteur de Recherches en psychanalyse (Université Paris Diderot) et agrégée d’anglais, elle a contribué à un livre collectif sur les Correspondances de Freud (PSN, 2007) et publié une étude sur Yves Bonnefoy traducteur de Shakespeare (Cahiers de l’Herne Yves Bonnefoy, 2010).
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