Deux lettres sur l'individu, la société et la vertu
EAN13
9782755506532
ISBN
978-2-7555-0653-2
Éditeur
Fayard/Mille et une nuits
Date de publication
Collection
La Petite Collection (602)
Nombre de pages
56
Dimensions
15 x 10,5 cm
Poids
42 g
Langue
français
Fiches UNIMARC
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Deux lettres sur l'individu, la société et la vertu

De

Fayard/Mille et une nuits

La Petite Collection

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Le rousseauisme a nui à la réception de la philosophie de Jean-Jacques, qui avait une conception de l’homme et de la société plus nuancée que celle que lui a prêtée la postérité. C’est ce que nous dévoile admirablement deux lettres méconnues du Genevois qui résument très efficacement sa philosophie politique avant qu’il n’écrive Du contrat social et L’Émile. En 1755, il expose à un naturaliste suisse qui a pour nom de plume Philopolis (Lettre à Philopolis) les principes de vertu que requiert de tous les hommes l’état social, laborieux, forcément laborieux collectivement. En 1757, dans une lettre oubliée (Lettre sur la vertu), il revient sur le passage de l’état de nature à l’état social, et la transformation de la bonté naturelle en un nécessaire rapport à autrui. La vertu et le souci du commun ont une place centrale. On est bien loin de l’idée réductrice propagée ensuite par l’individualisme : la société, c’est mal !
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