EAN13
3540139869347
Dimensions
12 x 14 x 1 cm
Poids
80 g
Indisponible
Guillaume ApollinaireJ’ai tout donné au soleilChanté par Raphaële Selval Arrangé par M’Selem1. D’où viens-tu ? 2’16 2.La Tzigane 1’353. Aubade 2’154. Réponse des cosaques Zaporogue 1’435. Voie lactée ô sœur lumineuse 6’456. Le printemps laisse errer 1’117. La blanche neige 1’488. Cors de chasse 2’289. Train militaire 2’5810. À Lou 2’2811. Au soleil 4’14Poèmes de Guillaume ApollinaireMusiques de Raphaële Selval  TEXTE INCLUS Guillaume APOLLINAIRE1880 - 1918 Guillaume Apollinaire de Kostrowitsky naît à Rome en 1880 d’un père inconnu — un noble italien probablement — et d’une mère d’origine polonaise qui fréquente assidûment les tables de jeu. En dépit d’une scolarité régulière à Monaco et à Nice, il échoue en 1897 au baccalauréat. Rompant avec les études, il lit abondamment, découvre la poésie de son temps, s’intéresse au journalisme et s’essaie à traduire Boccace. En 1899, Madame de Kostrowitsky et ses deux fils (Guillaume et son frère Albert né en 1882) quittent Monaco pour Aix-les-Bains, Lyon, Paris, Stavelot (près du casino de Spa) avant de se fixer à Paris. Contraint de gagner sa vie, Apollinaire devient « nègre » pour un feuilletoniste, puis part un an (août 1901- août 1902) en Allemagne en tant que précepteur et tombe amoureux d’Annie Pleyden, la gouvernante de son élève, qui repousse ses avances. De cet échec naîtra La Chanson du mal aimé. Il traverse Berlin, Dresde, Prague, Vienne, Munich puis, de retour à Paris, devient employé de banque. Il élargit sa connaissance du milieu littéraire — André Salmon, Alfred Jarry, Max Jacob — et s’ouvre à celui des peintres — Albert Derain, Maurice Vlaminck et Pablo Picasso. En 1907, il quitte le domicile maternel, abandonne la banque, publie sous le manteau ses Onze mille verges et se lie avec Marie Laurencin. Pour subsister, il écrit dans les journaux les plus divers — du Financier à La Culture physique —, multiplie les articles de critique, les préfaces de catalogue (Georges Braque), rédige des présentations de textes libertins dont ceux du Marquis de Sade. Il découvre et défend, dans le même temps, Henri Rousseau et la peinture naïve. En septembre 1911, injustement accusé de recel d’œuvres d’art, il est incarcéré quelques jours à la prison de la Santé. Profondément affecté par les attaques envers sa probité et son statut d’étranger, il supporte d’autant plus mal, en juin 1912, la rupture avec Marie Laurencin. Par ses relations avec les futuristes italiens et le groupe berlinois « Der Sturm », avec Blaise Cendrars, Francis Picabia, Sonia et Robert Delaunay, par son intérêt pour l’art africain, Apollinaire est de plus en plus mêlé à l’avant-garde, en peinture comme en poésie ainsi qu’en témoignent, en 1913, les retentissantes
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