1953, guerre d'Indochine : un reporter photographe du journal "Life", fortement inspiré de Robert Capa, meurt tragiquement en sautant sur une mine, sur l'une des rives du fleuve Mékong.
Elizabeth Cole, photographe de la revue mondaine du même journal, se porte volontaire pour prendre sa place, mais ses collègues lui rient au nez à cette annonce.
Contre toute attente, sa détermination convainc le directeur de "Life", et voilà Elizabeth à la découverte de Saïgon et de ses zones de guerre, en compagnie d'aventuriers, d'espions, et même de tueurs à gages !
Ce premier tome des Dames de guerre est un redoutable page-turner, extrêmement documenté et passionnant de bout en bout, vivement la suite !

Avec De la jalousie, Jo Nesbø ajoute une corde à son arc, déjà bien solide : l'écriture de nouvelles !
Si le thème de la jalousie, tremplin idéal vers le crime, est un classique en littérature, l'auteur explore ses ravages au sein de différents milieux sociaux et situations géographiques, avec la maîtrise et le talent que nous lui connaissons.

À travers ces intrigues de longueur très variable, Jo Nesbø nous livre des portraits de personnages toujours aussi subtils, et donne la pleine mesure à son sens affûté du retournement de situation et de la chute.

Vous m'en direz des nouvelles !

Pourrait-il y avoir un lien entre la future élection présidentielle au Sangha, république d'Afrique centrale, et la mort à coups de machette d'un Français, spécialiste du développement durable des forêts ? C'est ce que va tenter de découvrir la journaliste Claire Dorval, malgré les pressions sur place dont elle fait l'objet. Immersif, instructif : un très bon polar !

Des créatures extraterrestres auraient-elles pu commettre deux crimes, l'un dans une station spatiale à quatre cents kilomètres de la terre, et l'autre dans un mystérieux réseau de galeries souterraines à Lyon ?
Un thriller unique, d'une intensité folle et doté d'une intrigue tout autant inventive qu'érudite. Renversant !

Bidonville de Bois-Sec, en Amazonie : Darwyne, dix ans, a le cerveau un peu lent et le corps tout tordu... Enfant plutôt sauvage et taiseux, il n'a d'yeux que pour sa mère, Yolanda, et la forêt peuplée d'animaux mystérieux qui jouxte sa cabane misérable. Mais son quotidien bascule le jour où entrent dans sa vie le beau-père numéro huit et une employée de la protection de l'enfance. Pour le meilleur ou pour le pire ?
Comme toujours dans les romans de Colin Niel, le style est sublime, l'atmosphère envoûtante, et le charme opère...