- EAN13
- 9782226341730
- Éditeur
- Albin Michel
- Date de publication
- 07/2015
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Autre version disponible
-
Papier - Albin Michel 19,30
Morterolles, 8 août 2004
« Et les cloches de l'église qui ne sonnent plus. Il me semble pourtant les
entendre, parfois, au bout de mon silence. Quelle heure est-il exactement ?
J'ai dîné seul sur la terrasse. Christiane m'avait laissé des blinis et du
saumon. J'ai bu de la vodka et je me demandais : quelle heure est-il dans ma
vie ? Sur cette terrasse abritée par le tilleul, les derniers beaux soirs
remontent à lui. Tous les étés de sa jeunesse ici se confondent maintenant
avec le temps qui passe. »
« Sevran a du style, du rythme, une langueur qui flirte entre fanfare et
mélancolie. »
Pierre Vavasseur, Le Parisien
« Des pages magistrales, les mots les plus justes pour dire l'absence. »
Richard Cannavo, Le Nouvel Observateur
« Des bonheurs d'écriture à toutes les pages. »
Gilles Pudlowski, Le Point
« Abrupt, choquant, outrancier, péremptoire, mais authentique et toujours
juste. Sevran s'inscrit dans la lignée de ses idoles littéraires: Berl,
Jouhandeau, Chardonne, Léautaud. »
Hugo Marsan, Le Monde
« Et les cloches de l'église qui ne sonnent plus. Il me semble pourtant les
entendre, parfois, au bout de mon silence. Quelle heure est-il exactement ?
J'ai dîné seul sur la terrasse. Christiane m'avait laissé des blinis et du
saumon. J'ai bu de la vodka et je me demandais : quelle heure est-il dans ma
vie ? Sur cette terrasse abritée par le tilleul, les derniers beaux soirs
remontent à lui. Tous les étés de sa jeunesse ici se confondent maintenant
avec le temps qui passe. »
« Sevran a du style, du rythme, une langueur qui flirte entre fanfare et
mélancolie. »
Pierre Vavasseur, Le Parisien
« Des pages magistrales, les mots les plus justes pour dire l'absence. »
Richard Cannavo, Le Nouvel Observateur
« Des bonheurs d'écriture à toutes les pages. »
Gilles Pudlowski, Le Point
« Abrupt, choquant, outrancier, péremptoire, mais authentique et toujours
juste. Sevran s'inscrit dans la lignée de ses idoles littéraires: Berl,
Jouhandeau, Chardonne, Léautaud. »
Hugo Marsan, Le Monde
S'identifier pour envoyer des commentaires.