- EAN13
- 9782267022681
- Éditeur
- Christian Bourgois
- Date de publication
- 16/06/2011
- Collection
- Littérature française
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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« Les neuf nouvelles qui composent Tout passe s'entrecroisent, se font écho,
comme autant de variations autour de ce même motif obsédant de la
transmission, de l'héritage, de ce que l'on laisse. Il y a quelque chose de
cubiste dans la composition de ce livre, une façon très maîtrisée d'éclater le
récit pour offrir plusieurs angles de vision en même temps, sans jamais
dissiper les zones d'ombre. A chacun de choisir sa propre interprétation en
comblant les blancs à sa guise. Drôle de jeu qui hante le lecteur longtemps
après qu'il a refermé le livre. » Transfuge « Le climat qu'installe Bernard
Comment dans ces neuf nouvelles est à la mélancolie. Le mot que l'on
métaphorise à Cuba par le « gorrion », un moineau muet, explique l'écrivain
dans son avant-propos qui parle d'oiseaux... Tous ses personnages sont au
milieu ou à la fin de leur vie, à l'heure de prendre la mesure des choses, à
l'heure des regards sur le passé, à l'heure où s'impose avec force ce qu'on
n'a jamais voulu savoir. » Le Temps « Bernard Comment nous laisse entrer dans
leurs vies, l'espace d'un petit moment. Il le fait avec une mélancolie
vigoureuse et un délectable sens de l'intrigue, glissant dans ses récits juste
assez de vides pour appâter ses lecteurs, et juste assez de pleins pour les
contenter. » Le Monde
comme autant de variations autour de ce même motif obsédant de la
transmission, de l'héritage, de ce que l'on laisse. Il y a quelque chose de
cubiste dans la composition de ce livre, une façon très maîtrisée d'éclater le
récit pour offrir plusieurs angles de vision en même temps, sans jamais
dissiper les zones d'ombre. A chacun de choisir sa propre interprétation en
comblant les blancs à sa guise. Drôle de jeu qui hante le lecteur longtemps
après qu'il a refermé le livre. » Transfuge « Le climat qu'installe Bernard
Comment dans ces neuf nouvelles est à la mélancolie. Le mot que l'on
métaphorise à Cuba par le « gorrion », un moineau muet, explique l'écrivain
dans son avant-propos qui parle d'oiseaux... Tous ses personnages sont au
milieu ou à la fin de leur vie, à l'heure de prendre la mesure des choses, à
l'heure des regards sur le passé, à l'heure où s'impose avec force ce qu'on
n'a jamais voulu savoir. » Le Temps « Bernard Comment nous laisse entrer dans
leurs vies, l'espace d'un petit moment. Il le fait avec une mélancolie
vigoureuse et un délectable sens de l'intrigue, glissant dans ses récits juste
assez de vides pour appâter ses lecteurs, et juste assez de pleins pour les
contenter. » Le Monde
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