- EAN13
- 9782021118841
- ISBN
- 978-2-02-111884-1
- Éditeur
- Seuil
- Date de publication
- 30/03/2013
- Collection
- H.C. ESSAIS
- Nombre de pages
- 245
- Dimensions
- 2 x 1 x 0 cm
- Poids
- 340 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- castillan, espagnol
- Code dewey
- 320.946090511
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Tout ce que l'on croyait solide
essai
De Antonio Muñoz Molina
Traduit par Philippe Bataillon
Seuil
H.C. Essais
Offres
Ecrites dans l’urgence, ces quelques 250 pages se veulent un réquisitoire contre la grave crise économique, politique et morale qui traverse l’Europe et ravage l’Espagne, en même temps qu’un plaidoyer pour préserver les fondements de notre démocratie.
La première partie du livre s’en prend à l’idéologie ultra libérale des dirigeants européens et met en avant l’inimaginable corruption des élites espagnoles et des autonomies qui se chiffre en milliards d’euros: délits d’initiés ; hommes politiques liés aux grandes banques et aux grandes entreprises mondialisées, abandon des modèles sociaux, transformation des services publics en fabuleuses entreprises rentables ; clientélisme; effondrement culturel etc.
La seconde, plus littéraire, s’appuie sur des exemples, des anecdotes et des réflexions personnelles. Elle reprend une thèse chère à l’auteur, selon laquelle, comme trop souvent dans l’histoire, le monde peut basculer sans que personne n’ait rien vu ou rien voulu voir, interroge la responsabilité individuelle et collective, appelle à sauver les valeurs, aujourd’hui menacées, des sociétés démocratiques et propose la refondation d’une morale de la citoyenneté.
Né à Ubeda, Espagne, en 1956, Antonio Muñoz Molina est l'un des plus grands écrivains de langue espagnole. Son oeuvre romanesque, réunie au éditions du Seuil, a reçu de nombreux prix littéraires dont le Prix national de littérature en Espagne, le Prix Femina étranger en France et en 2013 le Prix Jérusalem et le Prix Principe de Asturias pour l'ensemble de son oeuvre. Il est membre de la Real Academia Espanola
La première partie du livre s’en prend à l’idéologie ultra libérale des dirigeants européens et met en avant l’inimaginable corruption des élites espagnoles et des autonomies qui se chiffre en milliards d’euros: délits d’initiés ; hommes politiques liés aux grandes banques et aux grandes entreprises mondialisées, abandon des modèles sociaux, transformation des services publics en fabuleuses entreprises rentables ; clientélisme; effondrement culturel etc.
La seconde, plus littéraire, s’appuie sur des exemples, des anecdotes et des réflexions personnelles. Elle reprend une thèse chère à l’auteur, selon laquelle, comme trop souvent dans l’histoire, le monde peut basculer sans que personne n’ait rien vu ou rien voulu voir, interroge la responsabilité individuelle et collective, appelle à sauver les valeurs, aujourd’hui menacées, des sociétés démocratiques et propose la refondation d’une morale de la citoyenneté.
Né à Ubeda, Espagne, en 1956, Antonio Muñoz Molina est l'un des plus grands écrivains de langue espagnole. Son oeuvre romanesque, réunie au éditions du Seuil, a reçu de nombreux prix littéraires dont le Prix national de littérature en Espagne, le Prix Femina étranger en France et en 2013 le Prix Jérusalem et le Prix Principe de Asturias pour l'ensemble de son oeuvre. Il est membre de la Real Academia Espanola
S'identifier pour envoyer des commentaires.