Yv

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Je lis, je lis, je lis, depuis longtemps. De tout, mais essentiellement des romans. Pas très original, mais peu de lectures "médiatiques". Mon vrai plaisir est de découvrir des auteurs et/ou des éditeurs peu connus et qui valent le coup.

Conseillé par
24 mai 2017

Pas mal sur le papier ce roman se révèle assez vite un peu longuet et pas au meilleur niveau des productions des années 70/80. Pierre Nemours (1920/1982) fut un écrivain productif et populaire, mais je ne suis pas certain que ce titre fut l'un de ses plus grands succès. Il traîne en longueurs et j'ai peiné à m'y intéresser totalement. Le cambriolage se monte doucement, très doucement, et de ce temps, l'auteur ne profite pas pour vraiment dresser de vrais portraits de ses personnages qui resteront toujours un peu vides.

Le roman s'emballe sur la fin et finalement seule la dernière partie, celle qui concerne l'après-cambriolage est vraiment passionnante et haletante (enfin, tout cela est très personnel et ce livre pourra plaire à certains). Un peu tard, il eût été bon que le suspense naquît bien en amont de l'épilogue.

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24 mai 2017

Mais que m'arrive-t-il pour ne pas parvenir à m'intéresser à ce titre ? Tout est là pour moi pourtant. Mais, de fait, dès le début, je n'accroche pas et je trouve que le romancier s'embourbe dans des répétitions, des longueurs. Il est bavard et radoteur. Je n'ai rien contre les digressions, les parenthèses, les théories sur le sens de la vie, sur la difficulté de vivre lorsqu'on a plus de boulot, de toit et qu'on ne croit plus vraiment en quelque chose... mais c'est sans doute la manière de l'écrire qui ne passe pas. Je ne sais pas, je n'y crois pas, je ne me projette jamais et pour être franc, ne réussis pas à avoir une quelconque envie de connaître la fin de l'histoire. Tant pis.

Diego Agrimbau, Diego Garavano

Editorial Saure

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24 mai 2017

Damon est fan d'un jeu en ligne Les Égyptiens de l'espace et compte bien sur ce jeu pour entrer dans la vie active. Un jour, il est enlevé par des extra-terrestres qui s'avèrent être des Égyptiens, ceux du jeu, qui cherchent les meilleurs joueurs pour sauver leur civilisation qui vit à des années-lumières. Sauf que les ordinateurs se sont trompés et Damon est un joueur assez mauvais. Renseignements pris, le meilleur joueur est Géronimo, aussitôt enlevé. Damon et Géronimo feront donc équipe pour combattre le méchant Wando, l'archi-ennemi du pharaon.

Je ne suis pas spécialiste des Égyptiens et je ne saurais dire ce qui est de la réalité ou de la fiction, je vois à peu près ce qui relève de l'anachronisme. Donc égyptologues acharnés, ne criez pas au scandale, cette bande dessinée n'est pas faite pour vous. Plutôt destinée à un public jeune, elle se lira dans le cadre familial. Très drôle, divertissante, le mélange des genres est très réussi. Dessin très coloré (Diego Garavano) et scénarios -scenarii pour les puristes- légers et enlevés (Diego Agrimbau), le tout donne une série qui débute très bien. Car j'ai lu deux épisodes à la suite. Le premier est intitulé La molaire du pharaon et tourne autour de la recherche du dentiste du pharaon qui ne répond plus aux appels alors que urgence il y a pour la dent pharaonique. Le deuxième tome intitulé La recette du pharaon a pour cadre la brasserie et la recette de bière ancestrale perdue à jamais... sauf si Damon et Géronimo parviennent à la récupérer.

Situations décalées, drôles, personnages marrants et attachants comme le sont souvent les gentils loosers qui réussissent sans comprendre comment, cette BD est une belle découverte, éditée par une maison espagnole Editorial Saure. Malgré cela, vous devriez pouvoir la trouver ou la commander dans toutes vos bonnes librairies (on me dit que chez Decitre, Mollat et les libraires.fr elle y est, mais essayez aussi chez vos libraires favoris). Allez-y, je vous promets un très bon moment de détente en famille.

Diego Agrimbau, Diego Garavano

Editorial Saure

Conseillé par
24 mai 2017

Damon est fan d'un jeu en ligne Les Égyptiens de l'espace et compte bien sur ce jeu pour entrer dans la vie active. Un jour, il est enlevé par des extra-terrestres qui s'avèrent être des Égyptiens, ceux du jeu, qui cherchent les meilleurs joueurs pour sauver leur civilisation qui vit à des années-lumières. Sauf que les ordinateurs se sont trompés et Damon est un joueur assez mauvais. Renseignements pris, le meilleur joueur est Géronimo, aussitôt enlevé. Damon et Géronimo feront donc équipe pour combattre le méchant Wando, l'archi-ennemi du pharaon.

Je ne suis pas spécialiste des Égyptiens et je ne saurais dire ce qui est de la réalité ou de la fiction, je vois à peu près ce qui relève de l'anachronisme. Donc égyptologues acharnés, ne criez pas au scandale, cette bande dessinée n'est pas faite pour vous. Plutôt destinée à un public jeune, elle se lira dans le cadre familial. Très drôle, divertissante, le mélange des genres est très réussi. Dessin très coloré (Diego Garavano) et scénarios -scenarii pour les puristes- légers et enlevés (Diego Agrimbau), le tout donne une série qui débute très bien. Car j'ai lu deux épisodes à la suite. Le premier est intitulé La molaire du pharaon et tourne autour de la recherche du dentiste du pharaon qui ne répond plus aux appels alors que urgence il y a pour la dent pharaonique. Le deuxième tome intitulé La recette du pharaon a pour cadre la brasserie et la recette de bière ancestrale perdue à jamais... sauf si Damon et Géronimo parviennent à la récupérer.

Situations décalées, drôles, personnages marrants et attachants comme le sont souvent les gentils loosers qui réussissent sans comprendre comment, cette BD est une belle découverte, éditée par une maison espagnole Editorial Saure. Malgré cela, vous devriez pouvoir la trouver ou la commander dans toutes vos bonnes librairies (on me dit que chez Decitre, Mollat et les libraires.fr elle y est, mais essayez aussi chez vos libraires favoris). Allez-y, je vous promets un très bon moment de détente en famille.

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24 mai 2017

Quatrième reboot à bord de l'YSS Infinity. Cette fois-ci c'est Patty Stardust, agent infiltrée au sein de la Guérilla symbolique depuis cinq ans qui doit abandonner urgemment son travail et griller sa couverture pour aller explorer la nécropole intergalactique. Comme les précédentes intervenantes, elle a huit heures devant elle pour comprendre ce qui empêche le vaisseau d'avancer.


Toujours aussi bien cette série. J'en suis à la moitié et à chaque épisode, j'ai l'impression de lire une nouvelle histoire. Cette fois-ci, Patty Stardust en est l'héroïne. Infiltrée dans une guérilla post-hippie, ou néo-hippie, des artistes qui pratiquent l'amour libre, la fumette ou autre prise de substance faisant planer. Liberté avant tout. C'est au moins ce que l'on en comprend de l'extérieur. Mais sans doute est-ce plus compliqué pour qu'il y ait besoin d'une agent infiltrée, la communauté est-elle si pacifique que cela ? Et quid de ce ce millionnaire mécène de cette guérilla : quel rôle joue-t-il ?

Couleurs psychédéliques, références à cet univers et aux hippies, certaines que j'ai repérées, telle cette grenouille (p. 37) qui est à la tête de musiciens et danseurs (cf. Love is all de Roger Glover, écoutez, je vous garantis la chanson dans la tête pour au moins la journée, non non, ne me remerciez pas c'est cadeau). Puis le nom même de l'agent Patty Stardust... Encore une fois, la bande dessinée fonctionne parfaitement. Toujours scénarisée par Lewis Trondheim aidé cette fois par Kris et dessinée par Martin Trystram. Peut-être pas la plus dense des aventures, mais l'une des plus simples à suivre et de très jolies choses à l'intérieur malgré les méchants qui rôdent.

Il n'est pas encore trop tard pour débuter cette excellente série dès le début.